Comment attirer les Talents ? Comment les retenir ?
Vous ne savez pas ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas le seul !
Ces deux questions sont celles de nombreuses entreprises depuis la crise sanitaire.
Cette pénurie de Talents touche de nombreux secteurs : technologie, ingénierie, santé et numérique.
Quelle stratégie adopter ?
Faut-il miser sur : le télétravail, les salaires, la semaine de 4 jours, ou le sens et les valeurs de la mission proposée.
Attention, n'oubliez pas un atout essentiel : la santé de vos salariés.
C'est le levier apportant la solution à vos questions.
On vous explique pourquoi.
Recrutement : la pénurie de main-d’œuvre continue
77% des employeurs, au niveau mondial, rencontrent des difficultés de recrutement selon le rapport annuel sur l’emploi et les questions sociales de l’OIT.
En France, selon une étude (2024), 54 % des recruteurs ne parviennent pas à trouver de candidats qualifiés.
Cette pénurie touche toutes les entreprises, mais plus particulièrement certains secteurs d’activité :
Le secteur du service aux particuliers et aux entreprises (63 % des projets de recrutement, selon France Travail).
Les technologies de l’information (En 2024, près de 25 500 postes sont vacants dans le secteur IT, on en prévoit 180 000 pour 2030) : les développeurs, les data analyst, les experts en cyber sécurité, les experts IA, cloud computing et IoT, les data engineers,les ingénieurs informatiques et les data scientists.
Le secteur du commerce (11,6 % des projets de recrutement en France)
L’hôtellerie-restauration : parmi les 10 métiers les plus recherchés, les serveurs, les aides de cuisine et les cuisiniers.
L'industrie (9,3 % de l’ensemble des projets de recrutement).
Le secteur de la santé : d’ici à 2030, 410 000 postes supplémentaires devraient être créés dans le secteur de la santé dont des aides-soignants, des infirmiers, des sage-femmes et des médecins.
Pourquoi ?
La pénurie de Talents s’explique par de multiples facteurs : les départs en retraites, le manque de compétences adaptées aux enjeux technologiques et environnementaux, les conditions difficiles de travail, des salaires jugés trop peu attractifs et un problème de mobilité (coût des transports et des logements en hausse).
Résultats : les entreprises se battent pour obtenir les Talents disponibles et adaptés à leurs besoins. Il faut aussi ajouter, dans ce contexte de guerre des Talents, le spectre du départ de vos salariés courtisés par d'autres.
A la difficulté de trouver les bons collaborateurs pour votre entreprise vient alors s'ajouter la difficulté de retenir ceux qui y sont déjà.
Alors que faire : quels moyens ont les entreprises pour devenir et rester attractives ?
Il faut s'intéresser aux souhaits de vos futurs collaborateurs : que disent-ils ? Que veulent-ils ?
Les attentes des Talents sont connues.
Selon les sondages, deux arrivent souvent en tête :
La rémunération : la volonté d'obtenir un meilleur salaire.
Le bien-être, pouvoir bénéficier de bonnes conditions de travail et de santé (critère en hausse depuis la crise du Covid).
Si vous prenez en compte ces deux principaux critères, vos options sont variées ;
Les leviers de rémunération, de conditions de travail, de management et ressources humaines, de bien-être et d'avantages personnels peuvent ainsi être déclinés de diverses manières.
Pourtant, si ce graphique semble exhaustif, il y manque un avantage spécifique important : la santé en entreprise.
Santé et bien-être : un levier déterminant pour l'entreprise
Selon l’Enquête IPSOS pour Predilife (2023), 79 % des salariés estiment l’entreprise légitime pour se préoccuper de leur santé (80 % de leur bien-être).
Pourquoi ?
Une explication nous est apportée par l'observatoire santé de la mutualité française : « un Français sur deux considère que le système de santé fonctionne mal (49 %) ».
Face à ce constat, les salariés se tournent vers l'entreprise.
L’observatoire santé travail (2023) de la mutualité française observe :
Premier constat : « 49% des salariés disent avoir déjà rencontré des problèmes de santé au travail, dont 24 % à plusieurs reprises ».
Deuxième constat : « les entreprises sont très attendues pour leur engagement sur la question de la santé au travail, et notamment sur leurs actions en matière de prévention concernant les souffrances professionnelles (83 %) ».
Troisième constat : seuls 52 % des français estiment que “les entreprises se préoccupent des conditions de travail et du bien-être physique de leurs salariés” et 47 % considèrent qu’elles sont “mobilisées en faveur du bien-être mental de leurs salariés”. C’est peu.
Pour autant, les questions de santé au travail restent taboues : seules 49% des personnes ayant été confrontées à des difficultés de santé telles que « la fatigue, le stress, une perte de motivation ou encore des douleurs physiques régulières, des phases dépressives ou un sentiment d’isolement » en parlent.
Les interlocuteurs privilégiés restent « le médecin traitant (55 %) ou les proches (collègues, entourage) » et rarement les « ressources humaines (14 %) » ou les « organisations syndicales (11 %) » de l’entreprise.
Exception à noter : la médecine du travail, interlocuteur apprécié (40 %).
Problème : « 61 % des salariés du secteur privé n’ont pas bénéficié d’une visite avec un service de médecine du travail au cours de l’année ».
Pourquoi ?
L’observatoire fait le constat d’une « une démographie médicale vieillissante et inégalement répartie sur le territoire ».
En clair, il n’y a plus assez de médecins du travail sur le territoire !
La profession est « la quatrième spécialité médicale la plus âgée de France ».
Cette situation explique le malaise des collaborateurs partagés entre :
Le constat d'un système de santé affaibli.
Et
La peur de confier leurs problèmes de santé à l'entreprise.
Mais face à cette situation, les mentalités évoluent et l'entreprise apparaît comme une alternative santé crédible.
La santé en entreprise : nouvel outil RH
L’Enquête IPSOS pour Predilife (2023) nous donne 2 chiffres intéressants :
81% jugent les initiatives de l'entreprise en matière de bien-être des salariés (hors mutuelle) comme un critère de sélection.
82% comme un facteur de fidélisation.
Le constat est sans appel : « les initiatives en faveur de la santé arrivent en 3e position après les conditions de travail et les valeurs de l'entreprise, mais avant les avantages salariés de type dotations vacances et titres restaurants ».
Depuis la crise sanitaire, les Talents sont plus soucieux de la politique de santé de leur (future ?) entreprise.
Les salariés attendent une prise en charge, par l’entreprise, de leurs difficultés santé telles que :
Les problèmes liés au recul de l’âge de départ en retraite.
Les RPS (risques psychosociaux).
Les effets négatifs du télétravail (sédentarité, déséquilibre vie pro/vie perso, isolement, alimentation).
Le stress au travail.
Si la santé au travail est déjà encadrée par la loi du 2 août 2021 et d’autres réglementations avec des obligations précises : prévention, dépistage, missions de la médecine du travail. La politique de QVCT engage aussi les entreprises vers plus de bien-être.
Or, les salariés attendent plus. Désormais, la clé de l'attraction et de la fidélité de vos Talents réside dans le levier santé.
La prévention santé doit faire partie d’un « package d’avantages sociaux » mis en avant par la marque employeur. C’est un levier d’attractivité et de rétention des Talents dont l’employeur doit s’emparer.
Et ce n’est pas tout ! Du côté entreprise, on comprend qu’il y a un lien entre santé et performance/productivité des collaborateurs.
Le pari est donc le suivant : un salarié en bonne santé est moins absent, plus motivé et performant dans son travail.
Ainsi, si les entreprises investissent davantage sur la santé de leurs Talents, c’est un atout considérable en termes d’image, d’attractivité, de rétention, mais aussi de compétition.
Tout le monde est gagnant : les salariés pour leur santé, l’entreprise pour son fonctionnement !
Pourtant, si les décideurs (87%) et les salariés (95%) souhaitent tous un meilleur budget santé (IPSOS 2023), à l’heure actuelle, seules ¼ des entreprises disposent d’un tel budget.
Les raisons en sont multiples : une question de budget, de peur du saut dans l’inconnu ou d’un sentiment de dépassement devant la tâche.
Par où commencer ? Que faire ? Qui peut le faire ?
Quelles actions mettre en place ?
Les salariés ont répondu :
· Sensibilisation à la santé mentale (gestion du stress)
· Mise en place de bilans de santé/dépistage, mais aussi
· Promotion d’un mode de vie sain (encouragement au sport) ou encore un
· Point sur l’alimentation/nutrition
· Suivi bien-être régulier.
Qui peut mettre en place cette politique santé ?
Seule, une entreprise ne peut pas porter à elle toute seule ces objectifs, faute d’avoir les compétences nécessaires en son sein.
Alors, faut-il recruter des spécialistes de santé ?
Pas forcément, il existe des entreprises, dont la mission est de vous soulager de cette politique de santé.
Celles-ci ont bien compris que l’entreprise a un rôle majeur à jouer dans l’accompagnement santé de ses collaborateurs. Elles proposent de vous assister pour dépasser votre dispositif actuel, votre obligation légale et satisfaire les attentes de vos Talents.
Vipali en fait partie : avec ses experts de la santé et son comité scientifique, l'entreprise propose différents services afin de vous aider dans la prise en charge d’une politique de santé efficace.
Mieux : Vipali fait de vos collaborateurs de véritables « acteurs de leur santé » autonomes et responsables. Notre mission : « être acteur de sa santé, ça s’apprend ».
L’affaire est claire : les défis de notre situation économique post-Covid et post-inflation se précisent.
Les problèmes sont diagnostiqués : la guerre des Talents épuise vos services RH, en quête du bon candidat. Votre entreprise est ralentie par ces difficultés.
Le remède : miser sur le levier santé est le moyen de briser ces obstacles.
Ainsi, en offrant à vos salariés les moyens de devenir acteur de leur santé, vous tissez du lien et créez une fidélité à votre entreprise.
Cette nouvelle culture d'entreprise misant sur la QVCT et le bien-être, accompagnant et soutenant vos salariés dans leurs problématiques de santé, devient un avantage comparatif incomparable.
Convaincus ? Envoyez-nous un message pour prendre rendez-vous.
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